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    Communiqués par date : 

  • ITW DARMANIN du 4-06-2023 commentée (publié 10/06/2023)

    Interview de M. DARMANIN 
    NC1e / RRB / Caledonia (4/06/23)

    Des exigences idéologiques clairement colonialistes, 
    malgré la réalité, les engagements, l’ ADN et l’ONU

    Commentaires de l’Indépendant-knc  (voir version .pdf ici)

    INTRODUCTION SUR LA RÉALITÉ CONCRÈTE DU PAYS :

    - Aucun texte n’oblige à supprimer l’ADN de la constitution ou à le modifier dans celle-ci. L’ADN est en vigueur et nous régit chaque jour, comme cela est écrit dans ce texte.

    - La transition vers la pleine souveraineté enclenchée par l’ADN et que l’État s’était engagé à accompagner reste légalement en cours ! Ses règles restent en vigueur sauf accord entre les « partenaires » réunis qui ferait au minimum avancer vers ce but, ce que les Dépendantistes refusent. Donc pas de tripartite.

    - Il n’y a eu aucun « Non » obligeant à l’un quelconque des changements qu’exige le gouvernement français pour des visées idéologiques coloniales : les deux 1ers n’étaient pas contraignants ; et le 3e est irrecevable selon le FLNKS, l’Éveil Océanien, le FIP avec bien d’autres pays, et l’ONU qui l’a signifié à la France (Résolution L22, 16/06/2022). La France a triché sur tous les tableaux : en argumentant sans cesse contre la souveraineté, en rapprochant la date du 3e scrutin illégalement (un délai identique -2 ans- à celui précédent était requis par l’ADN) et en trahissant les promesses écrites d’E. Philippe, puis en maintenant cette date durant le Covid pour que le peuple Kanak perde (plus durement touché, il aurait moins voté).

    Finalement, le boycott massif du peuple Kanak et le taux ridicule de “Non” signent l’échec de ces magouilles.

    POURTANT, AU RISQUE D’UNE GUERRE CIVILE, L’ÉTAT MENT ET EXIGE DE RENFORCER LA COLONISATION. Extraits surréalistes commentés de l’ interview :

    - Pour M. Darmanin, la liste électorale « bloquée depuis très longtemps » « était un scandale » : le scandale est qu’un ministre traite de scandaleux un passage de sa constitution y ancrant l’ ADN qui a prescrit cela. Passage en vigueur, et qui répond justement au scandale avéré, lui, de la colonisation de peuplement volontaire, illégitime et proscrite par l’ONU. Colonisation qui, pendant l’ADN, équivaut en pourcentage et dépasse en chiffres ce qui avait été fait sous Messmer ou Jacquinot dans les années 1960 puis 1970 : les Kanak y étaient passés de 47,6 % (1963) à 42,6 % (1983). Là, de 1996 à 2014, ils sont passés de 44,1 % à 39,1 % !

    - Pour M. Darmanin, l’État ne fait que « passer les plats » entre deux adversaires : le mensonge est évident face à l’histoire de notre colonisation de peuplement par l'Etat dont les ministres concernés sus-cités écrivaient qu’il s’agissait bien de rendre minoritaires les autochtones pour contrôler le pays. Un « passe-plats » qui explique qu’il modifiera l’ADN seul s’il n’y a pas d’accord, dans le sens colonialiste qu’il souhaite et contre l’ADN.

    - Pour M. Darmanin, « les calédoniens ils ont choisi de rester français ». Sérieusement ? Avec 42,5 % de votants et 41 % de Non, avec le boycott justifié et à 90 % du peuple autochtone, normalement seul habilité à décider ? Peuple qui a accepté que les allochtones participent car ils déclaraient accompagner, avec aussi l’État, la préparation du pays pour aboutir ensemble à un destin commun de pleine souveraineté. Parole clairement trahie.

    - Pour M. Darmanin, il y a un banal « droit à l’autodétermination de tous les peuples d’Outre-mer ». Faux.
    D’une part, seuls -hélas- ont une population autochtone encore nombreuse la Polynésie et la Calédonie,
    et non tous les Outre-mer. Et ce sont d’ailleurs les deux seuls inscrits sur la liste de l’ONU des territoires à décoloniser à ce jour.

    D’autre part le ministre opère un glissement sémantique perfide : car le peuple Kanak a un « droit inné et actif à l’indépendance » depuis Nainville-les-Roches, normalement concrétisé par les actions de l’ADN, que l’État a en fait contrées. Bien différent d’un simple « droit à demander l’indépendance », de plus remisé aux calendes grecques via un déclenchement verrouillé si les plans de l’État aboutissent !

    - Pour M. Darmanin, « ces 3 référendums se sont organisés sous le quinquennat du président Macron, il était très courageux de les organiser ». Cet enfantillage ferait sourire, s’il n’impliquait pas que le Président est considéré courageux de faire ce que lui prescrit la Constitution et l’ADN, sachant de plus que le FLNKS n’a occasionné aucun trouble, comme il l’avait annoncé, et contrairement au sous-entendu.

    - Pour M. Darmanin « on a rendu à la fois le bilan de l’accord de Nouméa et l’audit de la décolonisation demandés par les indépendantistes ». Le problème est que « qui paye commande » : ce n’était donc pas à une partie prenante de payer. Ce fut pourtant l’État, qui est donc disqualifié sur le résultat. L’ONU ou le FIP auraient été crédibles. Le FLNKS n’ayant pas les moyens financiers n’a pu que participer au cahier des charges. Les cabinets auront d’autres contrats avec l’État, jamais avec le FLNKS. Leurs bilans sont globalement des satisfecit tronqués pour l’État. Avec quelle crédibilité ?!
    Pour le bilan de l’ADN par exemple, il y eut 45 entretiens : avec qui, sur quels critères ? Trois objectifs étaient à juger : Émancipation, Rééquilibrage, Destin commun. Il est évident qu’il y a échec à l’émancipation par la souveraineté visée car combattue ; que le rééquilibrage est très limité vues les obstructions, que les inégalités gérées par la droite restent au double de la France, que le Destin Commun est remis en cause car ils ne veulent pas d’un pays commun.

    - Pour M. Darmanin, « les 7 critères que met l'ONU pour savoir si un pays est ou pas sous la colonisation (...) la France remplit les sept, pour dire que non, nous sommes sortis de cette démendance ».  Sic : normalement, on dit « "oui", nous sommes sortis » mais M. Darmanin est manifestement fâché avec ce mot. Fâché avec les faits aussi : la définition Onusienne d’un « territoire non autonome » est : « un territoire géographiquement séparé et ethniquement ou culturellement distinct du pays qui l’administre ». Et sa résolution 2022, donc post-référendaire, a demandé à son « C24 » - comité de décolonisation- de poursuivre le suivi de notre pays, donc de le maintenir sur la liste, et a prié la France de poursuivre ses efforts pour décoloniser !

    - Pour M. Darmanin, « sur 5 institutions (…), 4 sont gouvernées par les indépendantistes ». Ritournelle des Dépendantistes, ce thème veut nous faire croire qu’ils commandent tout déjà !
    Sauf que les plus importants leviers sont aux mains de la France : Ordre public et sécurité civile, justice dont prison, relations étrangères et immigration, enseignements (supérieur, mais aussi primaire et secondaire faussement transférés !), armée, monnaie avec le crédit, le change et le commerce extérieur, matières stratégiques, etc.

    Sauf que, aussi, les Dépendantistes commandent la Province Sud qui a 200 000 habitants, 3 fois plus que les deux autres réunies, dirigées par des indépendantistes.

    Sauf que le gouvernement et le congrés sont collégiaux, que les indépendantistes n’y ont qu’une majorité relative, et que c’est l’alliance avec un groupe neutre sur le sujet de l’indépendance (EO) qui gouverne ces institutions.

    Ça fait beaucoup de « sauf que », qui montrent la malveillance de l’insinuation du ministre.

    L’on pourrait ajouter que les 2 députés et les 2 sénateurs sont Dépendantistes, par la magie de circonscriptions trafiquées pour les premiers, et de grands électeurs surnuméraires dans les villes pour les seconds. Sans compter le militantisme à droite des Chambres consulaires.

    - Pour M. Darmanin, la place de la Calédonie est « dans l'indo-Pacifique, défini par le président de la République », surtout « quand nous voyons parfois la prédation des Chinois » et « les retournements d'alliances politiques comme font nos amis Australiens ou Néo Zélandais » !
    L’axe indo Pacifique est une chimère inventée pour nous contrer par le faux stratège M. Macron qui a beaucoup échoué par son arrogance sur le plan international, que ce soit en Algérie, au Sahel, en Afrique noire et bien d’autres pays. L’Inde n’a pas suivi, l’Australie s’est détournée, la Nouvelle-Zélande a toujours été neutre. Les USA n’ont pas besoin des 2 000 soldats français ou de ses Mirage qui mettent 3 jours à arriver en Calédonie : ils ont leurs propres alliances et surtout sont, eux, riverains du Pacifique. Ils s’appuient sur Hawaii, Guam, Mariannes, Philippines, Corée du sud, Japon, Australie, etc.

    Parler de « retournement d’alliance » pour nos deux voisins est une gaffe politique puérile, et un aveu de faiblesse idiot : ils n’ont juste pas besoin de la France dans le Pacifique et la verraient bien partir de Calédonie pour y être plus influents ! Ils ont d’ailleurs voté sa réinscription à l’ONU. Quant à la prédation chinoise, difficile de faire plus que les USA dans le monde, USA qui ceinturent d’ailleurs la Chine de leurs bases !
    A noter que NC1e bien rodée au mensonge par omission contre l’indépendance, a escamoté par un « (...) » le passage citant nos deux voisins dans leurs “retournements d'alliance”, dans son compte rendu Internet de 23h le 4/06/2023.

    - Pour M. Darmanin « il y a des avantages, il y a des inconvénients à l’autonomie, parmi les inconvénients il y a “on se prend en responsabilité” ». Le ministre se fait moralisateur paternaliste, mais cite finalement des points ou la responsabilité de l’État est écrasante : pour le Nickel, l’usine SLN est la seule des trois obsolète et en danger imminent de faillite, et la seule ou l’État est actionnaire ! Pour la route, la répression du non port de ceinture, de l’excès de vitesse et de l’alcoolisme est de son ressort et reste très insuffisante, or elle cause la plupart des morts ! D’autres « responsabilités » sont escamotées, telles que l’échec scolaire massif par inadaptation des programmes et méthodes imposés par l’État, ou la « pire prison de France » aussi d’État, la justice sélective, etc.

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    Note : les médias participants n’incluaient pas Radio Djiido, pourtant opposant de RRB, pourquoi ? NC1e et Calédonia sont, eux, disons, « neutre de droite » et « neutre de gauche » : l’équilibre est encore contre les indépendantistes !

     

  • Articles circonstancies (aussi sur Gr FB)

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    ITW DARMANIN du 4-06-2023 commentée par lindependant-knc (publié 10/06/2023)

    - ANALYSE DOCTRINE NICKEL EN NC ET RAPPORT IGF, par l'assocation "CERCLE DU CROISSANT" (5/09/2023)
    Cet article répond aux déclarations de M. Macron (26 juillet, Nouméa) sur la doctrine Nickel et le rapport de l'IGF.

    - REVOLTE EN ISRAEL  :  la société civile condamne aussi l’occupation

    - DOCUMENT "MARTYR" DU PROJET D'ACCORD COLONIALISTE DE L'ETAT : C'EST NON POUR L'UC
    L'UC réunie en ComEx élargie (+ responsables des 32 comités locaux) le déclare "irrecevable" (14/09/2023)

  • ESSAIS NUCLÉAIRES : DES MILLIERS DE NOUVELLES VICTIMES POTENTIELLES EN POLYNÉSIE

    PUBLIÉ LE 17 MAI 2022 PAR DISCLOSE  partager sur twitter

    Un an après notre enquête sur l’impact des essais nucléaires en Polynésie, une étude de l’université de Princeton, dont Disclose est partenaire, révèle que près de 3 000 personnes ont été contaminées, en 1973, par les retombées du tir « Pallas ».

    En février dernier, sur demande d’Emmanuel Macron, 35 000 documents ont été déclassifiés par l’Etat français. Ces archives concernent les essais nucléaires réalisés entre 1966 et 1996 en Polynésie française. « Je veux la vérité et la transparence avec vous », avait alors déclaré le président de la République. C’était quelques semaines après Toxique, notre enquête sur l’impact des essais nucléaires dans le Pacifique, en partenariat avec le collectif Interprt et le programme science et sécurité globale de l’université de Princeton.

    Depuis, le chercheur Sébastien Philippe et son équipe de l’université de Princeton ont poursuivi leurs travaux de modélisation des retombées radioactives liées aux explosions atomiques. En suivant la même méthodologie que pour Toxique, ils se sont penchés sur le cas de deux nouveaux essais : « Sirius » (1966) et « Pallas » (1973).

    En calculant la trajectoire des nuages de Sirius et Pallas sur plusieurs jours, là où le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) et les autorités françaises se sont cantonnées à une projection sur 24 heures, l’équipe de Princeton a découvert deux choses : lors de l’essai Sirius, l’île de Tahiti a été fortement contaminée sans que la population ne semble avoir été informée ; près de 5 000 habitants de l’archipel des Australes sont susceptibles d’avoir été contaminés par les retombées de l’essai Pallas, en 1973. Or, les essais Sirius et Pallas n’ont jamais été considérés comme des accidents nucléaires par l’Etat français.

    1966, LA PREMIÈRE CONTAMINATION DE TAHITI

    Le 4 octobre 1966, à 18h15, l’armée française tire l’essai Sirius depuis une barge posée sur le lagon de Mururoa.  Selon la modélisation du nuage effectuée en laboratoire, celui-ci a frappé l’île principale de Tahiti 18 heures plus tard. Ce résultat vient donc confirmer un article récent de chercheurs internationaux, dont un membre de l’Inserm, qui stipule que le nuage de Sirius est le deuxième plus contaminant pour Tahiti. Pourtant, à notre connaissance, les habitants de l’île n’ont pas été avertis par les autorités des risques encourus.

    Sirius a touché certaines zones de Tahiti plus que d’autres. La presqu’île de Taiarapu enregistre par exemple une radioactivité dans l’air dix fois supérieure àEssai sirius 1966 celle ​​​​​​​mes​​​​​​​urée à Mahina, la station où sont réalisées les principales mesures du CEA. Malgré l’importance supposée de ​​​​​​​la​​​​​​​ contamination, le gouvernement français n’a jamais réévalué les doses reçues par les populations de l’île. Le ​​​​​​​nuage de Sirius a fini par se propager à travers toute la Polynésie française, des Tuamotus aux îles Marquises, sur une zone s’étendant jusqu’à 1 800 kilomètres à l’est d​​​​​​​e Tahiti. A notre connaissance, le rapport radiologique du tir Sirius n’est toujours pas libre d’accès.

    Cet épisode s’ajoute à celui de l’essai Centaure réalisé huit​​​​​​​ ans plus tard, en juillet 1974. Dans le cadre de l’enquête Toxique, nous révélions en effet que le nuage de Centaure avait touché la totalité des habitants de Tahiti et des îles sous le Vent, soit 110 000 personnes. Une situation qui fut soigneusement passée sous silence par l’Etat français.

    LES VICTIMES DE L’ESSAI PALLAS

    En s’appuyant sur des données météorologiques correspondant à la date de l’essai Pallas, le 18 août 1973, des relevés scientifiques portant sur la taille du nuage radioactif et des archives militaires rendues publiques en 2013, l’équipe de Princeton a calculé qu’environ 5 000 habitants de l’archipel des Australes, situé à plusieurs centaines de kilomètres au sud de Papeete, ont pu être contaminés par les retombées de cet autre essai atomique.​​​​​​​

    Essai pallas 1973

    Selon un document faisant partie des archives publiées par Disclose, les militaires s’attendaient dès le départ à ce que les retombées se dirigent vers l’archipel des Australes, au sud-ouest de Mururoa. Pourtant, à notre connaissance, les autorités françaises n’ont pas alerté les habitants pour qu’ils se mettent à l’abri. En 2006, le CEA a consacré un rapport détaillé sur six accidents nucléaires connus. L’essai Pallas n’y figure pas.

    En 2021, une étude de l’Inserm avançait que la dose reçue par des mineurs de moins de 15 ans a pu atteindre 23 millisieverts (mSv) à la thyroïde, soit plus de 1 mSv sur tout le corps. Ces conclusions, en accord avec les modélisations de notre partenaire, signifient que près de 2 500 à 3 000 d’entre eux pourraient être reconnus comme victimes des essais nucléaires. De fait, ils pourraient demander réparation à l’Etat dans le cas où ils auraient développé l’une des 23 maladies radio-induites reconnues par la loi.

    DE L’IODE RADIOACTIF DANS LE LAIT

    En revanche, il est impossible de réévaluer en détail la contamination des adultes. Pour cause : les documents déclassifiés par Emmanuel Macron ne couvrent pas l’année du tir Pallas ni l’année 1974, qui marque la fin des essais atmosphériques.

    La modélisation du nuage démontre que l’île de Tahiti a aussi été touchée par les retombées radioactives. Ce qui expliquerait pourquoi l’armée française a détecté quelques semaines après l’essai Pallas une augmentation du taux d’iode radioactif dans le lait de Tahiti. Un lait qui, selon un rapport scientifique daté d’octobre 1973, était distribué « aux enfants des écoles sous forme de lait glacé aromatisé » durant la période scolaire.

    NOTE : Cette étude a été scientifiquement validée par une revue spécialisée le 15/09/2022

  • SOMMAIRE CULTURE

     

    - L’INDÉPENDANCE POUR LES NULS (Fiches info sur des thèmes disputés)
    Vanuatu, Chine, Prony, 3ème Consultation, etc....

    - OUVRAGES SUR LE PAYS :
    Fresque chronologique de l'Histoire du pays :
    >> Chronologie de Kanaky NC (1774-2018) Par Isabelle Leblic, anthropologue, CNRS.(Déc. 2018)

    L'indépendance juridiquement et économiquement possible :
     >> 
    Le Sens du "oui", par Mathias et Louise Chauchat (2020)

    Autres publications de M. Mathias Chauchat, Professeur de Droit Public à l'UNC :
    >> L'Avenir Institutionel de la NC (Conférence à Lifou le 6/10/2022 devant l'AJKM)

    Le pays vu par un européen indépendantiste, de 1984 à 2018 :

    >> La Plus Belle Marche, par Luc Tournabien (.pdf 2018 en français, & 2020 version anglaise)


    Une série de Nouvelles sur des évenements de la vie calédonienne tragiques ou non, plus vrais que nature...
    >> Caledonia Blues, par Claudine Jacques (2018)

    L'épisode Pisani (C. Blanc était son adjoint), puis de la Mission du Dialogue (C. Blanc la présidait).
    >> La Force des Racines Kanak,
    par Christian Blanc (2021)

    Histoire du continuum colonial français (Algérie, Kanaky, etc) : 
    >> Etats d'Urgence, par Léopold LAMBERT (2021)

    - HISTOIRE & ARCHEOLOGIE
    Conférence ADCK / CCT / Calédoniasynthèse sur une Histoire controversée de la NC :
    >> Archéologie de 3000 ans de présence humaine en pays calédonien (vidéo 2h)

    (Animée par Christophe Sand, directeur de l'IANCP - Institut d'Archéologie de NC et du Pacifique. Juin 2018)

    Conférence ADCK / CCT / Calédonia, Histoire de l'indigénat en NC :
    >> Au fondement d'une société inégalitaire - l'indigénat et ses pratiques en NC 1887-1947 (Vidéo 2h40)

    (Animée par Isabelle Merle, directrice de recherche au CNRS et Adrian Muckle, Senior Lecturer, University of Wellington. Oct 2019)

    Colloque UNC / dossier Calédonia : Le Cannibalisme en NC et dans le Pacifique (non avéré !)

    Voir "HISTOIRES D'HISTOIRE - Mangeurs d’hommes !" sur la TV Calédonia ou Youtube



    ANTHROPOLOGIE
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    CONFERENCES - DEBATS - MEETINGS À VENIR :
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